Chaque fois que s'ouvre ta main

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Commentaires extrait de la revue Caecilia 3/2001 - Le supplément musical :

Pour composer ce poème, Jean Martin s'est inspiré des paroles de Jésus : J'avais faim (1), J'avais soif (2), J'étais un étranger (3), J'étais nu (4), J'étais malade (5), J'étais en prison (6). Le refrain illustre le partage et l'accueil. Séduit par ce beau texte, Damien Simon lui a confectionné un habit polyphonique à la fois rythmiquement simple et harmoniquement d'aujourd'hui.

Ce chant trouve tout naturellement sa place dans les célébrations où sont proclamées les Béatitudes : à la fête de la Toussaint, le 4e dimanche ordinaire "A" et le 6e dimanche ordinaire "C". Il peut aussi se chanter aux célébrations pénitentielles communautaires et d'une manière générale au temps de pénitence et d'appel à la conversion.

La version à l'unisson ou à 3 v.m. présente une richesse harmonique assez inhabituelle, surtout pour un chant à l'unisson. On veillera à bien faire l'enchaînement du refrain au verset puis le retour au refrain. Dans ce sens la version à 4 v.m. est plus homogène et donc plus facile à maîtriser. Dans les deux cas, la mise en œuvre suppose cependant un travail méticuleux. Les choristes ont besoin d'être totalement rassurés pour rendre ce chant expressif.