Qui donc est entré dans la ville ?

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Commentaires extrait de la revue Caecilia 2/2001 - Le supplément musical :

La préparation des dons. Dans la Présentation Générale du Missel Romain (PGMR) on peut lire au n° 49 "Au commencement de la liturgie eucharistique, on apporte à l'autel les dons qui deviendront le Corps et le Sang du Christ ... C'est un usage à recommander que de faire présenter le pain et le vin par des fidèles ... Bien que les fidèles n'apportent plus, comme autrefois, du pain et du vin de chez eux, ce rite de l'apport des dons garde sa valeur t sa signification spirituelle."

N° 50 "La procession qui apporte les dons est accompagnée par le chant d'offertoire, qui se prolonge au moins jusqu'à ce que les dons aient été déposés sur l'autel. Les normes qui concernent la manière d'exécuter ce chant sont les mêmes que pour le chant d'entrée au n° 26 Il est exécuté alternativement par la chorale et le peuple ou, de façon analogue, par le chantre et le peuple, ou bien entièrement par le peuple ou par la chorale seule."

Comme c'est le cas pour chaque tropaire, stance et verset seront confiés à la chorale ou au chantre, le refrain sera chanté par tous. L'unisson est toujours possible! La mélodie du tropaire est simple, facile et très calme. Le texte rappelle à la fois l'entrée à Jérusalem, le dimanche des Rameaux, et le Jeudi saint.

Une fois de plus, la couleur harmonique vient de l'accompagnement d'orgue. L'organiste jouera scrupuleusement ce qui est écrit en tenant compte de toutes les altérations. Pour commencer il posera son pouce de la main gauche sur le LA longue (qui est tenue jusqu'à la 6e mesure !) et fera pivoter son index par-dessus pour jouer les notes supérieures. Organiste et chantres respecteront bien la durée des notes et des silences. Les signes de respiration de rompent pas le rythme !

Si le tropaire se chante à l'unisson, le refrain peut se chanter à deux voix mixtes et le verset à deux voix égales.