Dieu n'est pas le Dieu des morts

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Commentaires extrait de la revue Caecilia 1/2000 - Le supplément musical :

“Dieu des vivants”, tel nous apparaît Jésus Christ venu sauver tous les hommes. Message d’espérance, consolation de ceux qui pleurent. Aussi ce chant trouvera-t-il sa place dans la liturgie des funérailles soit comme dernier adieu soit comme processionnaI de sortie. Il pourra aussi être utilisé, l’après-midi de la Toussaint, comme répons après la Parole proclamée.

Musicalement, le compositeur a choisi de faire simple pour que le plus grand nombre puisse s’associer à ce chant. Même l’organiste tout seul peut lancer le refrain et le faire reprendre à l’assemblée. Les anciens reconnaîtront les premières notes du “In paradisum”. Par ailleurs la tierce La, note pivot, permet de mémoriser assez facilement le refrain. Il faudra veiller à ne pas morceler en fonction des notes longues et aller résolument jusqu’au Ré de “vivants”. Là où la chorale est présente, surtout à la Toussaint, on pourra chanter avantageusement, mais pas tout de suite, le refrain à trois voix SA et une voix d’hommes.

Pour le chant des versets il vaudrait mieux ne pas être trop nombreux. Un(e) soliste ou un petit choeur prendra soin de bien faire passer le texte. Attention à la répartition des syllabes à l’avant-dernière mesure (noire devenant deux croches !)