Souverain Roi qui rassemble Tantum ergo

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Renaissance ; Hymne ; Fête-Dieu ; Christ Roi ; Communion

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Commentaires extrait de la revue Caecilia 3/2009 - Le supplément musical :

Texte
Cette partition comporte les deux dernières strophes d'une hymne au Saint Sacrement plus longue.
La première strophe invite à l'acclamation, et nous relie directement à la liturgie de la messe. Cette invitation est précédée
par une évocation mystique du Christ en son Eucharistie : «Le Maître, le voici» ; «Peu de temps encore et Il revient». Le jour nouveau - il est à la fois à venir et déjà présent - est source de joie. Cette perspective ouvre directement sur la doxologie trinitaire, avec un balancement intéressant entre la louange : «Béni sois-tu» et la profession de foi :
«l'Unique nous bénit». Les deux strophes latines, très souvent  chantées, peuvent se suffire d'une traduction pour que soit renouvelée leur utilisation au cours de l'adoration eucharistique.

Musique
A première vue, l'écriture de ce chant peut paraître surprenante pour qui n'a pas l'habitude de lire une partition d'orgue. En effet, c'est bien de cela qu'il s'agit. C'est une partition d'orgue dont la partie de pédale accompagne le chant, raison pour laquelle celle-ci est écrite en clé de fa et semble destinée aux seules voix d'hommes.
Ce Tantum ergo, facile et chantant, en deux langues, présente une alternative intéressante au Tantum ergo grégorien.
Il peut être pris par le choeur à l'unisson ou par les hommes seuls mais, avec un bon accompagnement d'orgue soutenant le chant, l'assemblée pourra se l'approprier rapidement. De même un chantre/animateur pourra l'utiliser pour une adoration eucharistique en semaine.

Les fichiers d'apprentissage de ce chant sont disponibles sur la partie CDROM du CD joint à la revue Caecilia 3/2009.

USC627

Fiche technique

Auteurs
Frié, Jacqueline Frédéric
Compositeur
Bermudo, Juan
Formation vocale
B
Nombre de pages
2
Formation instrumentale
Orgue